leur existence.
Ensuite par la qualité et la diversité des orateurs qui vont se succéder tout au long de la journée à la tribune.
Focus sur trois personnalités qui prendront la parole.Halim Akli
Le poète kabyle Halim Akli a de la constance et du courage.
De la constance car, en 2007, il fut l’initiateur des premières Journées internationales laïques qui s’étaient tenues à Montreuil (Seine-Saint-Denis).
« Je suis un laïque,se définissait-il alors, qui milite pour un ordre juste dans mon pays. Cela passera inéluctablement par le départ du pouvoir algérien, un régime sclérosé, gangrené par la corruption, l’injustice et le crime dont les dignitaires devront comparaître, un jour ou l’autre, même à titre posthume, devant une juridiction compétente pour les années de torture, de feu et de sang dont sont victimes les populations d'Algérie. »
Du courage car, en tant que kabyle comme en tant qu’adversaire de l’islam, sa tête est mise à prix. Et il vit en Algérie ! Ainsi lit-on ces jours-ci sur un site Internet : « Hakim Akli, l'arabe de service (même étant kabyle), ton nom sera retenu dans le registres des ennemis de la nation »…
A ce jour, il attend son visa pour être présent à l’Espace Charenton le 18 décembre. Il ne lui a pas été signifié qu’il ne l’aurait pas. Les formalités sont en cours. Sur Kabyles.net, il a expliqué rêver « d’une société où tous les citoyens, hommes et femmes, seront égaux sur tous les plans et que seuls l’intelligence, la probité, le travail distingueront les uns des autres ».
Sur de telles bases, il n’y a aucune raison qu’il ne puisse pas se rendre en France.
Thème de son intervention : la méthode des islamistes en Algérie.
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