dimanche 16 janvier 2011

La ville de Lies Hebbadj, capitale du Breizhistan ?

Retour sur la ville de Rèze. Ou bien sur tout le monde
 et restes stupéfiaient.
Ce n'ait une fois de plus pour voir les punitions de cette émigrée polygame,
et qui sans sort très bien.
Par rapport à un Français qui aurait fraudé avec la justice, allocation familiale nous serions déjà à prisons voilà, voilà !
 
Mercredi dernier 17 novembre,stupeur des habitants de Rezé, commune limitrophe deNantes. Dans la nuit, les plaques de rues avaient changéde nom. Elles avaient été islamisées ! Le panneau d’entrée de ville lui-même, à lajonction des deux communes, était devenu Rezé-en-islam. Et dans la commune, les plaques vertes, couleur de l’islam, proliféraient, indiquant, dans une calligraphie rappelant l’arabe, rue de la Polygamie, place de la Chariah, impasse des Allocations abusives, rue de la Lapidation, rue du Breizhistan, place Mort aux infidèles, place Allah Ahkbar ou encore avenue du Halal impératif ! Après cinq jours d’interrogations sur la raison de cette mue soudaine, l’opération a été revendiquée par le Bloc identitaire, passé maître dans ce type d’opérations destinées à alerter la population sur l’islamisation plus ou moins rampante de notre pays. Bien sûr, Rezé n’avait pas été choisi au hasard : c’est là que demeure Lies Hebbadj, le polygame le plus célèbre de France depuis que Sandrine Mou leres, une de ses « compagnes », a con testé, en avril dernier, la contravention qui lui avait été dressée pour port du niqab au volant.

Rezé rue de la Polygamie

Et la plupart des noms donnés aux rues de Rezé par le Bloc identitaire correspondent à des épisodes de la vie récente de Lies Hebbadj, qui a été mis en examen en juin pour fraude aux aides sociales et travail dissimulé, puis, en août, pour viols aggravés ! S’il est évidemment présumé innocent de ces délits, le jour mê me où sa vie palpitante inspirait le Bloc identitaire, il était condamné à 700 € d’amende pourabus de confiance, une peine dont il a faitappel bien qu’elle soit bien plus légère queles deux mois de prison avec sursis requispar le parquet.
Lies Hebbadj, cet étourdi, avait payé l’un de ses avocats avec le chéquier… de l’Association culturelle musulmane de Rezé, dont les fonds sont destinés à bâtir une mosquée. Pris la main dans le denier du culte, il a remboursé et estime donc être innocent comme l’agneau (avant le sacrifice rituel…).
Pour Brice Hortefeux, chaque apparition de Lies Hebbadj est un camouflet de plus. Au printemps, le ministre de l’Intérieur avait affirmé que cet Algérien naturalisé français allait, en raison de sa polygamie, être déchu de la nationalité française. Polygame, lui ? Point du tout ! « J’ai des maîtresses, ce n’est pas interdit en France ». Certes. Mais ce qui est interdit, c’est de les entretenir sur les deniers publics, en leur permettant de toucher l’allocation parent isolé et les aides au logement, tout en étant marié avec elles devant Allah, raison de l’une de ses mises en examen.

Au-delà du cas de Lies Hebbadj, ce sont aux questions de la progression de l’islam et de la mansuétude, ou de la trouille, des pouvoirs publics que le Bloc identitaire a voulu sensibiliser l’opinion. Il se murmure que sa prochaine action sera encore plus spectaculaire. A suivre donc…

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