dimanche 16 janvier 2011

Pourquoi les rues de Rezé, près de Nantes, ont été rebaptisées

 
 

 
 
Communiqué de presse du Bloc Identitaire du 22 novembre 2010
 
 
Pourquoi les rues de Rezé, près de Nantes, ont été rebaptisées de noms islamistes !
 
Une fois de plus on voie certaines communes qui laisseraient, changer les panneaux des rues françaises échanger contre des panneaux rebaptisées avec des nom ISLAMISTES.
C'est à se demander jusqu'où ont les laissera faire,ils ne sont pas chez eux en France il ne faut qu'ils l'oublient, et nous laisserons pas un tel héritage à nos enfants tel quel il est en ce moment.
Les riverains on était surpris de voir leur rue rebaptisée en nom islamiste, et ne comprenez plus rien .
Heureusement que nous sommes là, pour remédier à cet envahissement d'islamiste qui voudra nous prendre note pays en douceur ou avec violence comme on le voie avec les racailles et tout cela sans aucune impunité.
Informations reprise sur Novopress. 
Adherer au bloc identitaire si vous en avez mare devoir notre France s'islamisé et ainsi que l'immigration de l'insécurités, reprenez votre pays tant qu'il en ais encore temps.
"racine-francaise"
                                                                                                                                  
    
 
La semaine dernière, la ville de Rezé a vu ses noms de rue se transformer. Ainsi, les habitants ont vu leurs rues rebaptisées : « Rue de la polygamie », « Place de la chariah », « Impasse des allocations abusives », « Rue de la lapidation », « Rue du breizhistan », « Place morts aux infidèles », « Place Allah hakbar » ou encore « Avenue du halal impératif ».
 
Depuis quelques jours, de nombreux médias, internautes et habitants se demandaient qui était derrière cette opération. Certaines réactions indignées se demandaient même s’il ne s’agissait pas d’un coup de force d’associations religieuses musulmanes radicales.                                                                     
  
 
L’objectif a donc été atteint : susciter l’interrogation, l’indignation et le débat. Il est temps désormais de tomber le voile : le Bloc Identitaire revendique la transformation des noms de rue à Rezé, en banlieue sud de Nantes (44).
  
Le Bloc identitaire tenait par cette action à dénoncer le fait que dans cette commune, comme dans de nombreuses autres en Bretagne mais aussi partout dans l’hexagone, la laïcité est de plus en plus fréquemment bafouée au profit de communautés religieuses qui souhaitent que les européens s’adaptent à un nouveau mode de vie, où le porc est désormais fréquemment proscrit des menus des cantines scolaires,
où des polygames bénéficient d’avantages sociaux scandaleux, où des aides et des subventions sont attribuées de façon massive en faveur de la construction et de la restauration de lieux de culte musulmans, où des plages horaires spécifiques sont demandées dans certaines piscines pour ne pas mélanger hommes et femmes où encore l’impossibilité pour certains médecins masculins de soigner des femmes musulmanes.
La liste est longue...
               
               
Le Bloc identitaire tenait également par cette action à faire de Rezé un symbole. L’affaire « Lies Hebbadj », les
commerçant musulman présumé « polygame de fait », ayant défrayé la chronique ces derniers mois, il nous paraissait fondamental de montrer qu’une partie grandissante de la population souffre d’un véritable ras le bol face à ces comportements aux antipodes de la tradition bretonne, française et européenne.
 
Le Bloc identitaire tient à préciser que l’ensemble des panneaux ayant servis à rebaptiser les noms de rues ont été fabriqués dans le but de ne pas dégrader le mobilier urbain et c’est ainsi qu’ils ont pu être enlevés très facilement dans les jours qui ont suivi l’opération.
 
Le Bloc identitaire n’acceptera jamais que la Bretagne devienne une terre de prédilection pour le prosélytisme islamiste. Comme déjà fait précédemment, le Bloc Identitaire s’opposera également à toutes constructions de mosquées qu’elles le soient sur des fonds publics ou    masquées derrière des subventions à caractère « culturel ».


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