dimanche 16 janvier 2011

28/11 – 18h44 – Barroso inquiet d’une « poussée populiste »

Posté par Novopress dans Flash actu le 28 novembre 2010
 
(Citation tenue par racine-francaise) communauté Anti racaille Anti islamisation.

Aujourd'hui un peut de connaissance pour ceux d'entre vous qui ne connaisse pas les "inquiétudes" de Mr Barroso président de la Commission européenne, au sujet d'une  " poussée populiste" .
Vous aurrez la réponse par Fabrice Robert président du "bloc identitaire" « Etre populiste, c’est défendre son peuple » .
Et répondra a une interview de "riposte laïque" quand tant que président de ce mouvement, devenue un partie, que la presse classe généralement à l’extrême droite, et comment vous situez-vous par rapport au Front national ?
 
Le président de la Commission européenne Jose Manuel Barroso s'est déclaré aujourd'hui "inquiet" d'une "poussée populiste" en Europe et a appelé les hommes politiques à défendre les valeurs européennes, dans une interview accordée depuis Bruxelles à Europe 1.
"Il y a aujourd'hui en Europe une poussée populiste des extrêmes qui est très sérieuse et qui m'inquiète. Je vois des sociétés qui ont une grande tradition d'ouverture et démocratique où monte (une) poussée nationaliste, chauviniste, xénophobe, parfois même d'un populisme très, très agressif", a déclaré M. Barroso.
"Le populisme, c'est la manipulation des craintes et des peurs avec des arguments irrationnels, mais ça passe parfois", a-t-il dit. "C'est pourquoi je fais un appel à toutes les forces démocratiques et pro-européennes (à user d'une) certaine pédagogie pour expliquer" nos valeurs, a-t-il poursuivi.

Dans cette interview essentiellement consacrée à la crise en Irlande, M. Barroso explique la nécessité de la rigueur pour réduire le poids de la dette alors que les Irlandais redoutent d'être contraints à des contreparties particulièrement douloureuses en échange d'un plan d'aide de l'UE et du Fonds monétaire international (FMI) pour renflouer les banques irlandaises.
"Puisque je parle à la France", ajoute-t-il encore, "il faut que les hommes politiques français expliquent rationnellement aux citoyens pourquoi nous avons besoin de plus d'Europe et n'alimentent pas des populismes contre l'Europe".

Les relations entre Paris et Bruxelles se sont dégradées cet été au sujet des Roms. La Commission européenne soupçonnait la France de ne pas respecter la législation européenne sur la liberté de circulation des citoyens européens en expulsant les Roms vers la Roumanie ou la Bulgarie, tandis que Paris contestait le rôle de gardien des traités européens de Bruxelles. A ce sujet "l'incident est clos" et il "n'a en rien touché nos relations de confiance et même d'amitié", a dit M. Barroso.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire